L’architecture bioclimatique : un concept à privilégier à Montpellier

Considérée comme l’une des bases de la construction écologique, l’architecture bioclimatique a l’avantage de combiner à la fois les qualités esthétiques et les performances énergétiques, pour de futures constructions à Montpellier et son agglomération.

Maison solaire bioclimatique

Une maison solaire bioclimatique est une habitation qui fonctionne exclusivement avec l’énergie solaire. Associant confort et grande économie d’énergie, ce type d’habitation a souvent recours aux types de matériaux simples et naturels comme le bois, la pierre ou encore la terre. Pour que la température intérieure soit agréable en hiver comme en été, une maison solaire devra bénéficier d’un bon rayonnement solaire, d’où l’importance de son emplacement. Pour réduire les échanges thermiques, les murs, la toiture, les fenêtres et les portes seront parfaitement isolés et étanches aux entrées ou aux sorties d’air intempestives. Pour son bon fonctionnement, une maison solaire nécessite des appareils sophistiqués comme les panneaux photovoltaïques. C’est pour cela que son coût de construction est assez onéreux au départ, mais bénéfique à long terme. Et surtout, n’oubliez pas qu’économie d’énergie est aussi synonyme de préservation de l’environnement.

Une Architecture basée sur l’orientation

Plus qu’avant, les grands principes de l’architecture solaire sont aujourd’hui remis au goût du jour. Longtemps apparu comme un idéal, à l’heure actuelle, il est possible de profiter de la chaleur et de la lumière du soleil en même temps… grâce à l’architecture bioclimatique. Une construction bioclimatique  à Montpellier tient compte avant tout du climat et de la nature environnante afin de pouvoir proposer à ses habitants des performances énergétiques élevées en été comme en hiver. Pour cela, le choix du terrain constitue le tout premier défi des constructions bioclimatiques. En effet, il doit être savamment étudié pour permettre de capter pleinement l’énergie solaire et proposer un emplacement en harmonie avec la course du soleil. Pour que la température intérieure soit douce en hiver comme en été, une maison solaire devra d’abord bénéficier d’un bon rayonnement solaire.

Le sens de l’orientation y joue aussi beaucoup. Les plus larges ouvertures doivent être idéalement placées sur la façade sud de la maison, qu’il s’agisse de baies vitrées ou de portes-fenêtres. Une maison bioclimatique privilégie plus particulièrement les espaces vitrés, car plus ils sont importants et plus ses habitants profiteront de la chaleur et de la lumière naturelle du soleil. Dans une maison bioclimatique, les pièces principales telles que le salon, la cuisine et les chambres sont généralement tournées vers le sud. À l’ouest, le nombre d’ouvertures sera limité pour prévenir le surchauffement intérieur de la maison, sachant que le soleil tape beaucoup plus fort en fin d’après-midi.

Architecture bioclimatique : des matériaux et des couleurs bien choisis

L’emplacement de la maison par rapport au soleil n’est pas le seul critère à prendre en compte par les constructions bioclimatiques. La qualité des matériaux de construction y est bien entendu choisie dans l’optique de réduire les besoins de chauffage ou de rafraichissement comme le bois, le métal (excellent pour faire des extensions de maison à Montpellier) la pierre ou encore la terre. Les matériaux ne doivent pas laisser échapper la chaleur, mais doivent surtout savoir la restituer au bon moment. À l’unanimité, les architectes d’habitations bioclimatiques préfèrent le bois pour ses excellentes performances thermiques. La pierre et la terre cuite sont également très utilisées. Pour les ouvertures, les vitrages en aluminium très fin sont plébiscités par leur capacité à assurer l’effet de serre dans la maison.

En règle générale, les matières doivent arborer des couleurs sombres comme le marron ou l’ocre, car elles absorbent mieux l’énergie solaire. Attention, le noir peut éviter une surchauffe l’été ! Il est mieux d’opter pour des couleurs dans la nuance orange ou couleur terre, qui ont, elles, l’avantage de capter les rayons du soleil pour les transformer en chaleur.

Maison bioclimatique protégée par un toit végétal

Complètement à l’opposé de cette frénésie actuelle de construire en hauteur, des architectes actuels proposent la technique ancestrale de la maison voûtée, version moderne. Maison, semi-enterrée sous un sol naturel, protégée et isolée par un toit végétal. L’ouverture principale est constituée de grandes baies vitrées orientées au sud afin de bénéficier des rayons du soleil.

Mon biotoit à moi, c’est le projet des architectes Naud et Poux pour le concours EDF 2008 « maison individuelle bas-carbone dans une zone pavillonnaire de l’Ile de France ».

Une maison bas-carbone par sa disposition, sa partie enterrée avec en plus l’apport des énergies renouvelables, panneaux solaires, pompe à chaleur. Mobilier High-tech dans un style d’architecture contemporain en harmonie avec le paysage.

La construction de cette maison bioclimatique

Après avoir étudié au bureau d’étude les différents éléments pour la réalisation des modules et dessiné les plans d’exécution d’atelier et de chantier, les architectes ont préfabriqués les panneaux de toiture, les panneaux de plancher et les panneaux d’ossature en atelier.

Panneaux de toiture

Ils sont composés de poutres principales en lamellé-collé, d’éléments secondaires en bois massif, d’isolant, d’un pare-vapeur, de voliges et de ferrures. Après taillage, les panneaux sont assemblés avec les différents composants cités précédemment. Pratique, en cas de besoin de réfection de la toiture avec  le temps.

Panneaux de plancher

Ils sont composés de poutres en lamellé-collé, de solives, de panneaux CTB-H, de panneaux OSB et de ferrures. Après taillage, les panneaux de platelage et les panneaux de sous-face sont assemblés, avant la mise en place du frein vapeur et incorporation de l’isolation.

Panneaux d’ossature

Après taillage, les panneaux sont assemblés avec les différents composants et contreventés avec le panneau de lamibois. Le frein-vapeur, l’isolation et le pare-pluie sont ensuite intégrés sur ou dans les panneaux. Les précadres bois et les menuiseries sont intégrés dans l’ossature avant la pose des bardages.

L’étanchéité à l’air de cette maison

Cela consiste à éliminer toutes les fuites d’air parasites au travers de l’enveloppe. Ce procédé de fabrication conjugué au soin méticuleux de la mise en œuvre des différents composants de la construction permet d’en tirer de nombreux avantages. Pour l’occupant, cette qualité de construction lui permet d’économiser jusqu’à 20 kWhep/m2/an*.

L’étanchéité à l’air améliore considérablement plusieurs points du confort en éliminant les courants d’air désagréables. En période estivale, il limite la chaleur étouffante. Avec l’extérieur et les logements mitoyens, elle supprime les gênes acoustiques et olfactives. Elle augmente également la pérennité des logements en limitant les risques de dommages aux matériaux et produits composant la structure. L’étanchéité à l’air maintient ainsi dans la durée la performance en matière d’isolation thermique  à l’intérieur des structures.

Conjuguée à la bonne ventilation, l’étanchéité à l’air est bénéfique au plan de la santé (allergies, maladies respiratoires…) en supprimant les moisissures et les polluants.

Pour obtenir ces résultats, il est impératif d’opérer différemment  « Les nouvelles réglementations thermiques obligent les entreprises à obtenir des résultats entraînant ainsi une nouvelle façon de travailler, plus tourné vers la concertation entre les différents corps de métier. Nous avons toujours travaillé, avec plus ou moins de succès, en amont avec les maîtres d’œuvre et les bureaux d’études techniques pour obtenir de meilleurs résultats dans des coûts maîtrisés. Aujourd’hui, la concertation s’élargit aux entreprises du second œuvre. C’est une bonne évolution pour la qualité du bâtiment ».

Est-il vraiment rentable d’installer un panneau solaire ?

La rentabilité d’un panneau solaire dépend de nombreux facteurs. Il est donc délicat d’affirmer si son installation est réellement rentable ou non puisque chaque cas de figure est différent. Toutefois, nous savons qu’il est possible de rentabiliser un panneau solaire de plusieurs façons. C’est ce que nous allons voir ici.

Les différents moyens de rentabiliser une installation solaire

L’autoconsommation

Le principe de l’autoconsommation est, comme son nom l’indique, de produire et consommer sa propre énergie solaire. Cela est possible via l’installation de panneaux solaires. Toutefois, compter uniquement sur l’autoconsommation solaire pour répondre à ses besoins énergétiques n’est pas forcément une bonne solution. En effet, la rentabilité d’un panneau photovoltaïque est dépendante du niveau d’ensoleillement. À moins d’investir dans un système de stockage (ce qui représente un budget conséquent) pour pouvoir produire de l’électricité à tout moment de la journée, il est donc difficile de couvrir entièrement les dépenses électriques d’un logement. Par conséquent, cette démarche n’est souvent pas la plus rentable.

L’autoconsommation partielle avec vente du surplus d’électricité

Afin de profiter des avantages de l’autoconsommation tout en assurant une couverture fiable des besoins en électricité d’un foyer, l’autoconsommation partielle est la solution idéale. Dans ce cas de figure, le logement est toujours raccordé au réseau électrique public. Ainsi, lorsque le niveau d’ensoleillement devient trop faible, c’est l’électricité du réseau qui prend le relais. En parallèle, le surplus d’électricité produit par l’installation solaire peut être vendu à un fournisseur d’énergie. Cela permet de bénéficier d’un revenu complémentaire en plus des économies réalisées grâce à l’autoconsommation. Cette option est la plus fréquemment choisie par les particuliers, et certainement la plus rentable. Elle permet également d’obtenir une prime à l’autoconsommation.

La vente totale de l’électricité

L’installation d’un panneau solaire sur une propriété n’implique pas toujours l’autoconsommation. En effet, l’électricité produite peut être intégralement vendue à un fournisseur d’énergie. Avec le dispositif d’obligation d’achat, EDF est obligé d’acheter l’électricité provenant des installations solaires. Un tarif d’achat est également fixé. Par exemple, le prix au kWh est actuellement de 0,10€ pour les installations ayant une puissance comprise entre 3 kWc et 9 kWc. Contrairement aux contrats d’électricité classiques, il n’est pas encore possible de choisir un fournisseur d’énergie autre qu’EDF. La vente totale de l’électricité peut être intéressante dans certains cas, mais elle n’offre pas certains avantages comme la prime à l’autoconsommation et les économies sur les factures d’énergie.

Les critères déterminants dans la rentabilité d’une installation solaire

vente autoconsommation solaire

Le type de panneau solaire

La rentabilité d’une installation solaire peut varier selon le type de panneau photovoltaïque. On distingue en effet plusieurs modèles :

  • les panneaux solaires monocristallins, qui sont actuellement les plus performants avec un rendement compris entre 14% et 19% ;

  • les panneaux solaires polycristallins, qui sont souvent de bonne qualité mais avec un rendement légèrement inférieur allant de 11% à 15% ;

  • les panneaux solaires amorphes, qui sont généralement dédiés à une utilisation nomade avec une grande mobilité mais un faible rendement compris entre 5% et 7%.

La localisation et l’orientation des panneaux

Sachant qu’un panneau solaire a besoin de soleil pour produire de l’énergie, la localisation a forcément un impact sur sa rentabilité. Ainsi, une installation photovoltaïque située dans le Sud de la France donnera souvent lieu à de meilleures performances qu’une installation située dans le Nord. Cependant, il est tout à fait possible de rentabiliser un panneau solaire dans une région peu ensoleillée. Il faudra alors prêter davantage attention à son orientation et son inclinaison. Pour des performances optimales, une orientation au Sud et une inclinaison de 30° à 35° sont conseillées.

Les habitudes de consommation

Dans le cas de l’autoconsommation, les habitudes des habitants peuvent avoir un gros impact sur la rentabilité d’une installation solaire. L’enjeu est donc de consommer un maximum d’électricité lorsqu’elle est produite par les panneaux, à savoir pendant les périodes d’ensoleillement. Ce critère se mesure à travers le taux d’autoconsommation. Plus le taux d’autoconsommation est élevé, plus l’installation solaire se rentabilise rapidement. En effet, les économies réalisées grâce à l’autoconsommation sont souvent plus intéressantes que les bénéfices tirés de la vente du surplus d’électricité. Pour optimiser ce taux, les occupants doivent ainsi adapter leurs habitudes de consommation. Il peut par exemple s’agir d’utiliser les appareils électroménagers dans la journée plutôt que la nuit.

 

En savoir plus sur la construction d’une maison d’ossature bois

Voici quelques question à se poser si l’on veut faire la construction d’une maison en bois  écologique, de performance énergétique

Une maison étanche à l’air est-elle respirante?

Pour réaliser une maison performante, l’étanchéité à l’air est fondamentale. Elle permet à l’isolation d’assurer sa mission. L’étanchéité à l’air permet cependant à la paroi de respirer car elle laisse diffuser la vapeur. En Physique du bâtiment, la respiration est relative à la gestion de la diffusion de la vapeur d’eau et non de l’air.

Peut-on se passer de ventilation dans une maison bois ?

Au même titre qu’une maison traditionnelle, une maison bois ne peut se passer d’une ventilation mécanique efficace. La performance de la maison est lié à l’étanchéité à l’air en partie. Vous ne pouvez donc plus réaliser un bâtiment sans vous préoccuper de l’étanchéité. Or, si l’air contaminé ne peut se diffuser par les faiblesses de la paroi, il doit être renouvelé par le système de ventilation. L’importance de la ventilation dans les déperditions prend tout son sens à ce moment là. Les ventilations double flux limitent les pertes par des échangeurs de chaleurs au rendement élevé. Le renouvellement de l’air peut être couplé à des sondes hygro et CO2 qui optimiseront les vitesses des ventilateurs.

On me propose du triple vitrage pour mes fenêtres : est-ce nécessaire ?

Le triple vitrage n’est pas forcément indispensable pour atteindre un niveau de performance labélisé BBC effinergie par exemple. Tout dépend de la zone concernée par le projet de construction.

Le triple vitrage peut s’avérer utile dans des zones au climat continental comme le nord-est de la France ou encore dans des régions comme le centre de la France. Il devient en revanche moins utile sur l’ensemble des zones océaniques ou pour la menuiserie de fenêtre en Pyrénées Orientales (Occitanie) par exemple,  car les différentiels de températures entre les saisons sont moins importants. Bien au contraire, le triple vitrage va limiter les apports passifs très riches dans les régions sud.

Peut-on trouver du triple vitrage au prix du double vitrage pour les fenêtres ?

De nombreuses démarches commerciales fleurissent pour attirer le client. La proposition qui consiste à vendre le triple vitrage au prix du double vitrage est un leurre. Le différentiel se retrouvera forcément sur un autre produit qui vous sera proposé en contrepartie de la remise sur le vitrage par exemple.

Une fois de plus, le choix des produits varient en fonction des contraintes de chaque projet

Focus sur la Liberty House, suite

Liberty-House, c’est un prix au mètre carré à partir de 1100 € H.T, une production et une implantation rapides (100m² en moins de 3 semaines hors permis de construire), des bâtiments de qualité et des modules de 2,5mX10m répondant aux exigences HQE (haute qualité environnementale) et RT 2020 :

  • Les toitures terrasses sont étanchéifiées à l’aide des laies de revêtement auto adhésives . Les relevées et les joints de dilatation sont réalisés avec des résines bitumineuses . La périphérie de la terrasse est équipée de relevées protégées par une coiffe en acier galvanisé laqué dont la couleur est choisie dans une palette fournie par Liberty House.

  • Les cloisons sont adaptées à l’usage. Elles peuvent être constituées soit d’un simple panneau massif d’une épaisseur comprise entre 27 et 78 mm, soit un panneau sandwich d’épaisseur hors tout de 50, 70 ou 100 mm. Ces dernières cloisons composites sont constituées de panneaux d’épaisseur égale ou inégale en bois massif ou OSB enfermant un produit isolant (laine de roche dédiée ou isolant spécifique).

  • Le plan de pose est défini pour reprendre les charges verticales résultant des points d’application des efforts dus aux charges propres, d’exploitation, de neige et de vent. Les fondations nécessaires pour la reprise des charges se présentent de préférence sous forme de longrines en béton orientées généralement perpendiculairement au grand axe de la construction et d’une hauteur de 20 cm au dessus du sol naturel.

A savoir, la qualité de vie est incomparable dans une maison en bois. On y pense pas, mais une fois qu’on vit dedans “y a pas photo”! Pareil pour ceux qui ont la chance de travailler dans un espace en bois !
En plus, il n’y a que des avantages : habiter une maison en bois c’est faire de grandes économies d’énergie, c’est sain (si on ne recouvre pas le bois d’une peinture chimique). Et contrairement aux idées reçues, les maisons en bois ne prennent pas “plus” feu qu’une maison banale.

 

Focus sur la Liberty House

Si vous aimez le bois, ces maisons sont pour vous !
Liberty House, (une société basée dans le 94) conçoit et réalise des espaces à vivre en Bois modulaires.
C’est durable, écologique, design et personnalisé. Ces maisons sont inspirées de l’expérience Nordique.

Vous pouvez tout aussi bien en faire une résidence principale avec des espaces allant de 78m² à 104m² ou encore une résidence de loisirs destinée aux parcs de loisirs avec la gamme LH0 (35m²) et LH1 (51m²).

 

Ils nous en disent plus sur le site par rapport au processus de production avec un contrôle qualité et la mise à niveau avant expédition. Il permet une grande rapidité d’exécution sur site et un chantier propre (nuisances minimisées) :

  • Les caissons sont constitués d’une structure bois contreventée (Longerons – traverses) Cette structure est complétée d’un pare-vapeur et d’isolant qui peut être de nature variée suivant la demande.
  • Les murs sont également constitués d’une structure (Lisses, montants) contreventée par des panneaux décor personnalisés ( bois massifs, OSB peints en blanc, lambris…). Ils sont complétés par un pare-pluie, 120 mm d’isolant personnalisé, un pare-pluie fixé sur les montants par un tasseau supportant le bardage lui aussi personnalisé.

plus d’éléments d’informations  : focus sur la Liberty house

Ecologgia, des maisons plus vraies que nature !

Vous aussi, vous voulez que votre maison regroupe tous ces critères : le bien-être, la chaleur, la tranquillité, le calme et la sérénité ?

Ecologgia réalise de sublimes maisons entièrement en bois. Tout est naturel : la construction, l’isolation, le chauffage… La construction de la maison est en bois massif, l’extérieur est en crépi ou en bardage bois, sans aucun traitement chimique. De même pour  les peintures et isolants !

La société est née au cœur des Vosges en 1998, on peut dire qu’il y a de l’expérience !

Les maisons écologgia sont toutes bioclimatiques, on ne fait pas mieux pour une maison qui consomme beaucoup moins d’énergie ! C’est frais l’été et garde la chaleur l’hiver !
De plus, les maisons en bois retiennent beaucoup plus la chaleur que les maisons en béton…

La société propose différents styles de maison : la classique, la contemporaine et l’avant-gardiste. A vous de choisir celle qui vous va le mieux !

En option : le toit végétal, triple vitrage, puits canadien, la récupération des eaux de pluie, les panneaux solaires.

A savoir : un bilan énergétique complet est fourni avec les maisons.

Budget : de 1450 euro à 2600 euro le m2

Orientation construction maison bioclimatique : mode d’emploi Ecologgia

L’orientation de votre maison est un des critères les plus importants lors de sa conception. Lisez nos conseils pour savoir comment orienter idéalement votre maison.

L’importance des vitrages

Les ouvertures ont une importance de premier plan depuis l’apparition de la RT2012 le 1er janvier 2013. En effet, la réglementation thermique RE 2020 impose une surface minimale de 17 % de baies vitrées par rapport à la surface habitable.

Ce seuil exigé a pour objectif de favoriser l’apport de l’éclairage naturel et de la chaleur dans la maison, avec pour conséquences un habitat plus lumineux, plus performant et plus confortable pour les occupants.  

–          La salle de bains et les WC : ces pièces n’ont besoin que de peu de soleil (voire pas du tout pour les WC). On n’hésitera pas à les orienter vers le nord.

–          Les pièces de service : ces pièces utilitaires (bureau, cellier, buanderie, débarras dressing, garage, atelier…) ne nécessitant pas une température élevée, vous pourrez donc privilégier une orientation vers le nord. Ces pièces offrent l’avantage de servir de zones tampons en comblant des espaces au centre de la maison et réduire par conséquent les déperditions de chaleur et donc la consommation d’énergie.

les plantes vivaces dans le jardin durable

Stars des jardins contemporains, les plantes vivaces sont aujourd’hui le matériau essentiel des recherches esthétiques en matière de paysagisme. Rares en France il y a encore cinquante ans, les horticulteurs spécialisés se multiplient désormais, mais aucun d’entre eux n’a encore atteint la renommée d’Emmanuel Lepage. Pionnier en la matière à la suite de son père, cet horticulteur passionné est la référence des grands paysagistes français et le fournisseur des plus beaux parcs contemporains.

Au cœur de la région angevine, sur les bords de la Loire, on révère, encore et toujours, la mémoire du Roi René, cet illustre duc d’Anjou passionné de plantes méditerranéennes, qui, au XVe siècle, avait fait de son fief, connu pour la douceur de son climat, le berceau des plantes acclimatées. C’est en effet à l’engouement de ce grand seigneur que la région, et particulièrement la commune des Ponts-de-Cé, doit sa vocation de pôle horticole en France. Entre Loire et Authion, à quelques mètres seulement des faubourgs d’Angers, s’étirent ainsi, aujourd’hui, des rangées de serres et de bandes de terre sablonneuses où naissent les plantes qui contribuent à enrichir les plus beaux parcs et jardins de France. Parmi les nombreuses pépinières qui ont éclos en ces lieux, celle d’Emmanuel Lepage offre une apparence discrète, qui contraste avec la renommée dont jouit l’enseigne auprès des meilleurs paysagistes français.

Une orientation visionnaire

Cette renommée, Emmanuel Lepage la doit en partie à son père, grand pionnier de la culture des plantes vivaces dans les années 50. Celui-ci, anticipant sur les grandes tendances paysagères de la seconde moitié du XXe siècle, avait fait le choix stratégique de spécialiser l’entreprise horticole familiale dans ces variétés alors peu cultivées. C’est à lui qu’on doit notamment, la diffusion en France du géranium vivace, variété de pélargonium importée des Balkans. ” Arrivé à l’âge de la retraite, mon père avait réussi à développer une importante collection de plantes, raconte Emmanuel Lepage, il m’a fait voir alors quel intérêt il pouvait y avoir à reprendre l’entreprise et m’a convaincu d’essayer. Et trente ans plus tard, je suis toujours à l’essai ! ” Diplômé de droit et de sciences politiques, Emmanuel Lepage ne se destinait pas exactement à une carrière d’horticulteur. Mais la tradition familiale et la passion des plantes furent les plus fortes. Et que vivent les plantes vivaces !

Comment trouver les matériaux pour construire une maison en recyclé ?

Vous pouvez en trouver gratuitement en ramassant ce dont les autres ne veulent plus ! Canettes, pneus, bouteilles plastiques, verres… Puis contactez les concessionnaires automobiles et décharges pour récupérer les pneus, n’hésitez pas à leur faire comprendre que vous les débarrasser et qu’un petit dédommagement est bienvenu ! Elles savent ce qu’elles y gagnent !

La créativité et le sens de la décoration à une place importante pour rendre votre maison plus jolie, comme par exemple, intégrer des  bouteilles de verre de couleur différentes dans vos murs afin d’avoir des touches de couleur façon carreau de salle de bain. Pensez-y !

Comment construire sa maison de matériaux  recyclés ?

Rien de plus simple… Disposez vos pneus comme vous le souhaitez (dans la mesure du possible… PLU, Architecte…voir infos sur l’habitat participatif) pour édifier les murs, remplissez les d’un mélange d’argile et de sable. Vous obtiendrez un mur d’environ 1 mètre d’épaisseur qui absorbera la chaleur pendant la journée et la rayonne dans les pièces la nuit. En hiver, la masse thermique constituée par le caoutchouc permet de garder une température constante à l’intérieur. De grandes baies, orientée sud vont venir se greffer à la construction, afin de maximiser l’apport en chaleur du soleil. L’air circule et réchauffe la maison qui n’a aucune ouverture côté sud. Outre la structure en pneus, ces maisons sont totalement autonomes grâce à la collecte d’eau de pluie et l’utilisation de l’énergie solaire. N’hésitez pas à installer des panneaux solaires sur le toit et vous renseignez sur ce que votre région peut vous proposer en matière de développement durable !

Les eaux usagées seront quant à elles évacuées en respectant l’environnement… naturellement !

Et surtout, n’oubliez pas : Rien ne se perd, tout se transforme !

 

 

Nouveaux outils au service de la construction à faible impact environnemental : L’Analyse de Cycle de Vie

Le programme européen Interreg SUDOE vient d’accepter le lancement du projet EnerbuiLCA (Life Cycle Assesment for Energy Efficiency in Buildings).
Ce projet promet de structurer l’approche par Analyse de Cycle de Vie (ACV) dans le secteur de la construction de tout le sud-ouest de l’Europe. Mené par un partenariat franco-hispano-portugais (Nobatek pour la représentation française), il débutera dans les semaines à venir et aboutira notamment à la mise en place d’une plateforme pour l’ACV bâtiment à disposition des entreprises du sud-ouest de l’Europe.

L’Analyse de Cycle de Vie

L’Analyse de Cycle de Vie, approche multicritères et globale, est la méthode la plus aboutie pour la maîtrise des performances environnementales de produits.
Pourtant bien implantée dans divers secteurs industriels, elle n’a que peu pénétré le secteur du bâtiment jusqu’à aujourd’hui. Mais divers projets de développement méthodologique menés ces dernières années ont permis de lever les barrières à son utilisation, et c’est une technique amenée à se développer fortement dans le secteur de la construction bioclimatique, dans un contexte réglementaire qui évolue vers une réelle maîtrise des impacts environnementaux.L’ACV peut en effet aujourd’hui être utilisée à plusieurs échelles par les acteurs de la construction.
Il est ainsi possible d’évaluer l’impact environnemental :
– d’un produit de construction. L’ACV produit peut en particulier aboutir à la réalisation d’une Fiche de Données Environnementales et Sanitaires (FDES).
– d’un bâtiment. Divers outils permettent de réaliser l’ACV d’un bâtiment et les méthodes sont maintenant bien cadrées.
– d’un projet urbain.
Plus expérimentale, cette approche permet une nouvelle approche de l’urbanisme durable à travers l’analyse de scénarios selon des indicateurs environnementaux objectifs et quantifiés.En Aquitaine, le centre technologique Nobatek développe depuis plusieurs années une expertise sur l’ACV appliquée au bâtiment, que ce soit à travers des travaux de développement d’outils d’ACV simplifiées spécifiquement destinées aux PME fabricants de produits de construction, à travers la coordination du projet français COIMBA sur l’ACV de bâtiments ou encore le développement du nouvel outil d’ACV quartier.